Sitting [Pv entre Charlie Moody, Grégory House & Lisa Cuddy]

Charlie Moody venait de basculer du Côté Obscur de la Médecine, en effet le jeune Oncologue venait de s’associer avec House le Diabolique afin d’affronter la féroce Cuddyzotaure, un Monstre de Femmes, s’attaquant aux pauvres petits Médecins sans défenses en leur donnant des heures de Consultations OBLIGATOIRE, vous vous rendez compte ? Pour venger cette Infamie et cette vile traîtrise, l’Oncologue et le Néphrologue avaient prit l’ascenseur du Premier Etage, direction le Rez-de-chaussée. Là, House alla se cacher derrière une énorme plante aux fleurs rouges, symbole de l’hôpital, personne ne pouvait les repérer, pas même les Standardistes et leurs rayons-lasers-de-la-mort-qui-tue. Moddy quand à lui s’avança tranquillement, d’un pas léger vers le Carré des Standardistes et des Infirmières. Il les fixa tours à tours, comme pour les intimider puis se mit à rire bêtement.

Une jeune standardiste le regarda d’un air hébété qui en disait long sur ce qu’elle pensait de lui.

Charlie était encore peu connus auprès des Standardistes et autres servants de Cuddy. Cette dernière venait d’enrôler de force toutes les forces Administratives à sa cause. La Domination des Femmes pleurnichardes sur le Monde ! Elle avait même ralliée des gardes Gays à sa cause, rendez-vous compte du côté pervers de cette Directrice…

Une Infirmière à la voix douce et flûtée sortit Charlie de sa rêverie :

« -Alors mon brave chevalier servant, que puis-je faire pour toi aujourd’hui ?

-Je crois… il ria. Une Fuite d’émanation de gaz au niveau de la Morgue, qui… il ria encore. Au niveau du sous-sols. »

Les Femmes le regardèrent bizarrement, soudain une quinquagénaire frustrée et pincée prit la parole :

« Je le connais ce type moi, un sacré bon menteurs ! Il est sans doute de mèche avec cette saloperie de House. Ce vieux bigleux n’arrête pas d’échafauder des plans foireux rien que pour nous emmerder ! »

*Aïe, se dit Charlie, si jamais cette vieille peau flaire le poteau rose, nous avons intérêt à courir, et vite !*

Une autre femme, cette fois-ci une charmante blonde aux yeux en amandes avec une peau couleur miel parla, c’était une des infirmières qu’il s’était tapé, Charlie s’attendait au pire…

« Arrête Françoise, Charlie est un garçon comme il faut. Elle lui fit un clin d’œil et mima un doux baiser qui lui était adressé. C’est un Amant formidable, douée d’une Enorme personnalité ! Elle insistait bien sur le énorme. C’est un petit Lapin tout doux. Elle sourit. Et moi je le crois sur… »

Soudain, une alarme se fit entendre, l’alarme incendie venait d’être brisé. Sûrement un coup de House ! Les infirmières ainsi que les gardiens et les hôtesses à l’accueil se précipitèrent à l’autre bout du bâtiment pour voir ce qui clochait. C’est là que House sortit de sa cachette, une fois que les méchantes Madames étaient sorties. Il avança en direction de Charlie en boitant avec un petit objet en métal dans la main.

« Je savais que c’était bien vous qui l’aviez fait. Merci, ça commençait à traîner en longueur. »

Les deux médecins avancèrent aussi rapidement qu’ils pouvaient en direction de l’Office, là où se trouvait le Bureau de Cuddy. Charlie poussa la porte violament, House entra le premier.

« Ceci est un Enlèvement, faîte gaffe, je suis armé ! »

Charlie sortit sa flasque en acier de sa poche et fit mine de l’envoyer dans la tête de la standardiste si celle-ci se levait. Charlie poussât ensuite la deuxième porte qui donnait directement dans le Bureau de Cuddy. House pénétra en premier, suivit de l’Oncologue.

« Mes Hommages chère Cuddy-Jolie, dit-il, nous sommes navrés de vous interrompre en pleine partie de Chat sur votre Pc mais une histoire bien triste nous emmène ici… Nous faisons un Sitting ! » Il hurlait et souriait en même temps, épaulé par House.

Malheureusement, Cuddy n’était pas encore là… Elle avait dû très certainement s’absenter pour une affaire quelconque. Charlie interrogea House du regard. Il prit ensuite un Sofa qu'il plaça devant la porte d'entrée, de manière à ce que les deux médecins soient à l'intérieur et Cuddy coincée dehors.

House qui pendant que l’ascenseur descendait ce dit qu’il allait bien s’amuser dans le bureau de Cuddy. Une fois arrivée à destination, House alla se cacher et regarda Charlie faire face aux infirmières sans âmes. Alors, il le vit avancer tranquillement vers certaines d’entre elles et se mit à rire tout seule. House fronça les sourcils à la fois amusé de son comportement et intrigué de la façon dont il allait s’y prendre. Il entendait plutôt bien ce que pouvait dire les gens et il sourit aux propos de la femme. Apparemment, il n’était très apprécié mais tant pis, il arriverait forcément à se faire passer pour un gentil et dire au feu.

Puis, il entendit la vieille et d’autres personnes parler de Charlie et lui. Pas bon signe et il valait mieux réussir à s’en sortir, sinon ils serraient mal barrés. Alors, House continua de regarder la scène, de toute façon, il pourrait intervenir si jamais ça tournait mal et que personne n’accroche, alors il ferait son misanthrope comme tous les jours. Il laissa donc traîner une oreille attentive. Mais House avait quand même envie de passer à l’attaque et il vit une autre infirmière se mêler à la conversation, pas bon signe du tout. Greg regarda autour de lui et vit une des alarmes. Il regarda près de lui et ne vit personne, alors il se pencha et vit un bout de métal au sol, il le prit et brisa la vitre.

Une sonnerie se fit entendre et House repartit derrière sa plante, le temps que la panique arrive dans le lieu. Une fois que le plus grand nombre était sortit, House tout en boitant se dirigea vers Charlie et lui sourit. Ce dernier vit le métal et House lui fit un clin d’œil. En effet, il fallait bien faire diversion et puis House était impatient d’embêter Cuddy. Le diagnosticien entra en premier pendant que Charlie s’occupait de la secrétaire, qui n’avait pas l’air de tout comprendre à ce qui se passait. L’oncologue avait semble-t-il fait peur à la secrétaire qui ne bougeait pas. Elle avait l’air terrorisé, ce qui fit sourire House et ce dernier entre dans le bureau de Cuddy. Il laissa Charlie parler, amis il venait de voir qu’elle n’était pas présente. House fit une moue de déception, le plan était si beau, pourquoi est-ce qu’elle n’était pas là.

Puis House aida comme il pouvait Charlie pour bloquer la porte et il s’assit dans le sofa. Il regarda autour de lui et sourit en voyant le bureau vide et sachant très bien qu’elle allait piquer une crise si elle ne pouvait pas rentrée dedans. Evidemment sa secrétaire lui parlerait de ce qui s’était passé. House savait que quand l’alarme s’arrêterait, ils auraient réussit à amener Cuddy dans le bureau. Alors, il alla finalement s’installer au bureau et commença à ouvrir les tiroirs, fouiller, c’était plutôt intéressant. Il continua et parla à Charlie, sans le regarder.

"Dès qu’elle débarque, ont la fait entrer ou on la fait mariner devant le bureau ?"

Les deux possibilités faisaient sourire House, tout ce qu’il voulait s’était embêter Cuddy.

Une fois que le gros sofa et une espèce de petite armoire furent placer devant la porte d'entrée, de façon à empêcher les gens d'entrer, c’était une sorte de blocus en somme, Charlie se dirigea lui aussi vers le bureau de Cuddy, s’asseyant dans le fauteuil de sa patronne et sortit de sa sacoche la nourriture et les réserves. Il prit donc le pot de Beurre de Cacahuète, le paquet de tranche de pains ainsi que son Thermos à Café et des canettes de Bières Brunes. Il déposa le tout sur le bureau de la Doyenne et commença à se tartiner un bout de bain avec le pot. Il fit aussi une tranche pour House qu’il déposa devant lui. Il se cala ensuite confortablement dans le fauteuil tout en posant ses pieds à l’angle du bureau, à côté de l’ordinateur. Il regarda tout d’abord la décoration. Cela semblait bien correspondre à Cuddy, on se serait crut dans un catalogue de décoration pour maison de poupée. Charlie en eut froid dans le dos. Des bibelots étaient disséminés ça et là dans la pièce : Il aperçut un chat en porcelaine ainsi que plusieurs tableaux, des bouquins sur la Médecine, des plantes et un genre de gros éléphant.

« Le mauvais goût devrait être punis par la Loi, s’exclamât Charlie, on se croirait dans une revue pour mamie du genre : Pelotes de Laine et Déco’ numéro spécial comment embellir votre petit intérieur en dix leçons ?!… »

Il eut un petit sourire. Il mordit ensuite à nouveau dans sa tartine de beurre de cacahuète et se saisit d’une canette de Bière qu’il décapsula et entama sur le champ. Une fois rassasié et hydraté, il vit plusieurs dossiers déposer devant lui. Il se saisit de l’un d’eux et commença à le feuilleter. Il s’agissait d’une liste de généreux donateurs qui avaient contribué à payer plusieurs machines de pointes. L’Oncologue en fut écoeuré et dégoûté.

« Regardez-moi ça ! N’est-ce pas affligeant ? Des rupins pleins aux as font des donations à Princeton par pseudo générosité mais en faîte il n’en est rien. S’ils nous donnent cet argent c’est pour avoir cette belle plaque couleur or dans le Hall, pour voir leur nom en gros, ils espèrent aussi des passes droits par rapport au autres patients si besoin… C’est pathétique, la bêtise Humaine sans l’ombre d’un doute. »

Il renvoya ensuite le dossier dans un coin du bureau en feuilletant le reste des feuilles, rien de bien passionnant. Il s’agissait là d’un rapport de matériel, de quelques dépenses, frais, d’une liste du personnel ainsi qu’un livre de compte. Il ouvrit alors un tiroir et tomba nez à nez sur une grosse feuille blanche et quelques stylos feutre. Une idée venait de germer dans son petit esprit tordu. Il étala la feuille blanche sur le bureau et commença à écrire au stylo rouge. Il souriait en même temps que ses bras traçaient des lettres rouges sur la feuille. Il fouilla ensuite dans un autre tiroir et en sortit un ruban de scotch.

*Parfait, se dit-il.*

Il se leva du fauteuil tout en montrant le panneau sur lequel il venait d’écrire, d’un air triomphant. On pouvait lire :

"Cuddy-Jolie, On vous AIME !
Pardonnez-nous : )
Signé : Vicodin Power et Wishky-Man."

Il se dirigea ensuite vers la barricade et colla sa feuille sur la vitre à côté de la porte, côté intérieur du bureau. Toute personne se trouvant dans le Hall pouvait à présent lire ce que Charlie avait écrit. Il se rassit ensuite dans le confortable fauteuil, but un peu de bière et avançât le clavier d’ordinateur. La machine était en veille, il appuya sur un bouton et l’écran s’alluma enfin. Petit problème, le Pc demandait un mot de passe, hors Charlie ne le connaissait pas.
Au hasard il tapa quelques mots, chiffres mais rien n’y faisait. Il se retourna ensuite vers House.

« Est-ce que par le plus grand des hasards vous connaîtriez le mot de passe de Cuddy pour son ordinateur ? »

House qui fouillait toujours dans les tiroirs de Cuddy, vit Charlie, qui faisait à manger. Cool, le médecin avait encore faim, il n’avait pas assez mangé, alors quand le repas fut près, il s’installa confortablement et commença à manger dans le silence. La pièce, il la connaissait par cœur, il pouvait tout décrire les yeux fermés. C’est d’ailleurs ce qu’il fit, il ferma les yeux, tout en mâchant son repas. Il pensait à ce qui allait se passer quand elle verrait que l’hôpital avait été soit disant mit à feu. Seulement, personne ne pourrait expliquer ce qui s’était passé, alors, il eu un sourire, en ce disant qu’elle verrait sa secrétaire, toute chamboulé par les deux hommes et leurs comportements. Puis, il continua de manger et entendit les propos de Charlie sur la décoration. Il ne dit rien et ouvrit les yeux en prenant un autre bout de pain. Il finissait de mâcher celui qu’il mangeait et s’en faisait un autre, tout en regardant faire Charlie avec des dossiers.

Finalement, il mangea son deuxième sandwich et vit que l’oncologue écrivait quelque chose sur une feuille blanche. Puis, il put la lire et sourit après avoir vu ça. Elle comprendrait vite de qui il s’agissait et pourrait vite s’énerver, donc ce serrait encore plus drôle. Puis, il regarda Charlie aller la coller sur la porte. House savait que quand Lisa lierait le mot, elle voudrait le tuer lui en disant qu’il a forcément enrôlé le pauvre petit nouveau et il savait qu’il pourrait jouer de ça. Mais pour le moment, il voyait Charlie qui essayait d’entrer dans l’ordinateur. Sur ce coup là House n’était pas d’accord. En effet, faire du forcing, se moquer des gens, faire peur, ça pas de problème, mais pas l’ordinateur. House savait qu’elle avait beaucoup de choses mais surtout la liste de donneurs de sperme et ça il garderait le secret. De plus, il pensait connaître le mot de passe de Lisa, mais ne le dirait pas. Alors, il fit une moue, tout ne prenant du café et en se faisant un nouveau sandwich.

"Aucune idée, mais essayez endocrinologie ou un truc comme ça."

House savait que ça ne pouvait pas être ça. Il savait que son mot de passe serait plus sur sa vie privée et sûrement sur le fait qu’elle soit célibataire et qu’elle veuille un enfant.

Lisa Cuddy avait quitté son bureau depuis maintenant une demie heure...Wilson l'avait reclamé pour lui presenter un patient, et les larbins de House avait eu besoin de son accord pour un autre patient encore. Elle avait trouvé etrange le fait que House ne soit pas venu de lui même...Elle sentait mal cette affaire, et se demandait bien ce qu'il mijotait ! Cependant, elle avait mis cette intrigue de coté, et etait passé se payer un café, elle en avait beaucoup besoin...Elle n'avait pas beaucoup dormis la nuit dernière, hantée par ses doutes et ses songes...

Alors qu'elle s'apretait a siroter son café dans son bureau, elle eut la surprise de ne voir que deux infiermiere dans le Hall...Ou etait passé le personnel ? Une d'elle s'adressa à elle... d'un air paniqué, et d'une voix bien trop rapide pour etre calme.

" Bonjour madame Cuddy, Nous...(Elle inspira et lança) Je crois que le Docteur House à encore fait n'importe quoi, il vient de signale un incendie, mais pourtant ... Les autres sont partit verifié, je ne suis pas sûre que ca soit toute la vérité ! "

Cuddy ouvrit la bouche pour riposté mais, un papier attira son attention...Qu'est ce que c'etait que ça !?
Elle prit un air sévère et fit claquer ses talons jusqu'a la porte qui donnait directement à son bureau, bon sang, elle allait les tuer !
Elle s'appretait a ouvrir la porte, mais compris bien assez tot que celle ci etait vérouillé.

" HOUSE ! MOODY !"

Elle tappa avec force a la porte .

" SI VOUS N'OUVREZ PAS CETTE PORTE DE-SUITE JE PEUX VOUS DIRE QUE VOTRE CAS EST EN DANGER ! ET JE M'ADRESSE A VOUS HOUSE !"

Elle claqua du pied au sol en voyant qu'il l'ignorais, et tripoter son ordinateur...Allait il avoir le cran de violer sa vie privée sous ses yeux ?

House regardait Moody et ne voulait pas que ce dernier arrive à accéder à l’intérieur de l’ordinateur et il voulut parler, quand il entendit un bruit qu’il connaissait bien, les talons de Lisa. Il eu un grand sourire aux lèvres et ne put s’empêcher de regarder vers la porte. C’est alors qu’il vit une ombre, puis il entendit la voix de Cuddy. Le médecin se leva de son fauteuil, un sandwich dans une main et marchant avec sa canne de l’autre. Charlie lui essayait de découvrir le mot de passe de l’ordinateur et Greg passa doucement vers le carreau de la porte. Il sourit à Lisa en mangeant son sandwich.

"Vous en voulez un, il est très bon, c’est au beurre de cacahouète."

Il souleva les sourcils et il savait que les menaces que faisait Cuddy n'irait pas forcément jusqu’au bout. Il savait qu’il aurait des heures de consultations supplémentaires. Alors, il s’assit sur le bord du fauteuil qui était là pour bloquer la porte et il la regarda par la vitre.

"Si vous entrez, vous devez être seule et sans arme."

Ont aurait dit un vrai gamin, qui se croyait dans un film. Alors, il la fixa près à ouvrir si elle acceptait de se calmer et surtout si elle n’entrait sans personne.

Cuddy soupira quand elle vit House s'avançait avec un Sandwich a la main, mondieu, il mangeait de telle cochonnerie dans son bureau avec un docteur aussi fou que lui, mais ou va le monde ?

" House , je ne veux pas de Sandwich et encore moins si vous avez croqué dedans ! "

Elle ne put retenir une grimace de dégout... Pourquoi ? Peut etre parce qu'elle s'imaginait quelque chose de pas tres catholique !

" Ouvrez cette porte maintenant ! "

Elle l'observa s'asseoir sur le bord du fauteil qui servait de barage, et elle soupira encore, et encore. Elle le destestait, plus que tout, mais...dans un autre sens ...Non oublions cela ! Il fallait qu'elle rentre dans son bureau, et ça MAINTENANT ! Elle considéra la condition minable de House pour lui ouvrir, gardant toujours un oeil inquiet vers Moody qui farfouillait son ordinateur quand elle lança, sans meme s'etre souvenue l'avoir voulue, quelque chose qu'elle aurait du garder pour elle...

" Arretez ca House ! Je viendrais au théatre avec vous, mais OUVREZ CETTE PORTE ! "

Elle mis une main devant sa bouche, mais il etait trop tard...

House continuait de manger son sandwich et il voyait Moody qui essayait de forcer l’ordinateur, mais qui avait des difficultés, heureusement. House ne voulait pas qu’il y parvienne et c’est pour ça qu’il ne lui avait pas donné le mot de passe auquel il pensait et qu’il pensait bon. Alors, il reposa son attention sur Cuddy, qui était plus énervée que jamais. Puis, il entendit les propos de Lisa sur le fait qu’il aurait croqué dans le même repas qu’elle. Alors, il se mit face à la vitre du bureau et la fixa dans les yeux.

"Vous ne voulez pas croquer dans un même aliment que moi, mais vous voudriez me manger, ça j’en suis sûr et certain."

Il lui fit un sourire amusé et un clin d’œil qui comprenait beaucoup de sous-entendus et continua de la fixer. L’homme se mit alors à sourire, quand il vit qu’elle était énervée et ne dit rien quand elle l’obligea à lui ouvrir la porte. Puis, il continua de manger, il avait presque finit. Puis, il amena son sandwich vers sa bouche et ne croqua pas dedans, surprit par les propos de Lisa et fronça les sourcils, en tournant la tête vers la vitre. Il poussa le canapé, comme il put et ouvrit la porte, ne laissant pas passer Cuddy et attrapa sa supérieure par le bras et la plaqua à la porte, mais du côté de l’entrée. Il restait dehors avec elle, le temps de lire dans ses yeux un regret de ses propos, ou autre chose. Mais comme il ne trouvait rien, il montra son sandwich.

"Voulez un bout ?"

Il la regarda avec un air à la fois amusé et plutôt intrigué qu’elle est dit ça comme ça. Mais en même temps, ça lui faisait plaisir qu’elle accepte et il en profiterait au maximum. Finalement, il sourit amusé et s’approcha de son oreille.

"J’ai hâte d’y être avec vous."

Il avait dit ça avec une voix plutôt calme et sensuelle, pour voir comment elle allait réagir et il se déplaça doucement, tout en restant la fixer dans les yeux, un sourire aux lèvres.

Cuddy roula des yeux. Cet homme va finir par la rendre completement barje ! Et le mot n'etait pas totalement exact... Elle vit avec effroie qu'il s'apretait a ouvrir la porte, elle se demandait bien si elle avait bien de dire une telle chose... Le théatre avec lui, mais qu'est ce que sa pouvait bien vouloir dire ? Elle savait qu'elle etait capable de lui succomber, d'un moment a l'autre, il avait ce petit grain de charme tout a fait remarquable que seulement tres peu d'homme possède, mais il fallait revoir aussi les mauvais cotés de la chose... Et croyez moi, il y en avait ! Elle attendit un geste de sa part, et quand il ouvrit la porte, elle voulut se faufiler mais se retrouva soudainement plaqué a la porte, toujours du même coté. Elle l'observa, un long moment, cherchant une réponse a cet acte un peu soudain, mais elle ne vit qu'une once d'amusement dans son regard azur. Elle ouvrit la bouche pour contester à cela, mais il la devanca en lui proposant une fois de plus du sandwich !

" House... "

Elle n'avait rien trouvé de mieux à dire a sa proposition, un simplement gémissement d'agacement, elle etait épuisé ces dernier temps, et il jouait avec elle, avec ses nerfs, et avec son taux d'hormones sur élevés ! Elle grimaca quand il s'approcha de son oreille et lui susurra quelque chose d'une fois totalement neutre, meme plutot tendre, dénué de sarcasme. Sa voix etait tout a fait sensuelle, totalement ... Elle ne trouvait plus les mots. Elle se sentit parcouru d'un frisson innoportun, et se maudit interieurement de ne pas l'avoir retenue. Mais en meme temps, comment retenir une émotion qui nous prend de court ? Il se décolla de son oreille, et elle pouvait encore sentir son souffle chaud venir s'écraser contre son lobe. Dieu ce qu'il etait beau quand il la fixait comme cela...Elle chassa ses pensée , et se concentra sur l'homme et son sourire douteux, cherchant un peu de verve aufond de son esprit tourmenté.

" Moi aussi, j'ai hate de rentrer chez moi le soir et de me dire " Ouf c'est terminé, pas de quoi balisé " "

Elle lui sourit narquoisement et le toisa d'un regard joueur, allez savoir ce qu'il repondrait à une telle réponse face a son effort sur humain de tendresse...

House toujours face à Lisa, ne pouvait qu’apprécier la position. Il venait de la plaquer contre la porte et il avait tout le loisir de pouvoir voir à la fois ses yeux, son visage et surtout chose plus intéressante encore, sa poitrine. Une vu plongeante qu’il appréciait mais que pour le moment, il ne regarderait pas ou en tout cas, pas tout de suite. Alors, il continua de fixer Lisa dans les yeux et lui proposa son sandwich. C’est alors qu’elle prononça son nom, en un gémissement d’agacement. Il ne dit rien, regardant seulement ses réactions et voulant savoir pourquoi tout cela était toujours aussi facile. Pas normal tout ça et il découvrirait la vérité.

Le médecin finit par se rapprocher de l’oreille de sa supérieure pour lui parler et ensuite, en la fixant, il vit son regard. Elle avait à la fois bien et perdue. C’est vrai qu’il jouait avec elle, mais il avait aussi envie d’aller au théâtre. Comme il l’avait expliqué plusieurs fois à Wilson, pour le diagnosticien le fait d’inviter une femme à aller au théâtre, c’est pour qu’elle finisse dans son lit. Bien sur House voulait aboutir à ce point là avec Cuddy, mais en même temps, il savait qu’elle était fragile et que d’en arriver là pourrait lui compliquée sa vie de femme, mais également sa vie d’homme à lui. En effet, même s’il ne veut pas se l’avouer, il ressent quelque chose de fort pour Lisa et bien pus que de l’amitié, de l’amour. Oui, vous avez bien entendu, de l’amour, alors il préféra effacer ça de sa tête et il la fixa à nouveau, écoutant ses propos.

"C’est vrai qu’une fois avoir couchés ensemble ont pourra se le dire tout les deux."

House eu un sourire amusé et commença à froncer les sourcils. Il venait de dévoiler son plan sur le fait qu’il devait d’abord la pousser à bout, pour qu’elle finisse la soirée avec lui, dans le même lit. Mais quand il dévoila son plan, tout devient différent, le fait qu’elle sache ce qu’il voulait et même de pouvoir comprendre qu’il ne resterait pas à une simple partie de jambe en l’air lui fit un peu peur et il essaya de reprendre son air amusé, mais n’y arriva pas et il préféra fermer les yeux pour essayer de reprendre n’importe quel visage tant qu’il pouvait cacher sa gêne.

» Lisa et House
» Manger [PV Cuddy]
» Chercher Wilson [PV Charlie]
» HOUSE!!!!! *House*